Je cite :

"Lors d'une séance  d'information, le Dr James Giordano, neuroscientifique et neuroéthicien du Centre médical de l'Université de Georgetown, explique en quoi les nouveaux développements en neurosciences offrent une utilité potentielle dans les opérations militaires, de renseignement et de guerre.
IL aborde les implications des armes nucléaires et détaille la nécessité d'améliorer l'identification, la surveillance, l'orientation et la gouvernance de la science du cerveau qui peut être utilisée dans des applications militaires et de guerre, et pose ainsi un risque et une menace définis pour les intérêts de la sécurité.

Le Dr James Giordano est professeur aux départements de neurologie et de biochimie, responsable du programme d'études en neuroéthique et codirecteur du programme O'Neill-Pellegrino en neurosciences et droit et politiques de la santé mondiale au Centre médical de la Georgetown University à Washington. , DC. Il est chercheur principal et chef de projet du groupe de travail sur le projet du cerveau humain de l'UE à double usage et a été membre du comité consultatif scientifique du groupe d'évaluation stratégique multicouche de l'état-major du Pentagone."

Pour en savoir plus

Certains pensent que cet homme n'est pas sincère dans sa demande d'éthique...peut-être...mais on ne

connait pas les pensées profondes des gens, personnellement, je ne sais pas, au moins, il ne nie pas ce qui se passe.

En tous les cas, je suis d'accord avec lui sur ce point : les neuro-armes sont extrêmement pernicieuses.

 

Logiquement elles "doivent" bien être testées un jour ou l'autre ... au début sur des cochons d'Inde ou

autres animaux.

...Mais, de nos jours on a rarement besoin d'adopter des stratégies très poussées pour rentrer en guerre

contre des animaux (ils sont loin de représenter le plus grand danger pour nous) notre ressemblance

avec eux étant limitée... la suite semble couler de source...

 

Et c'est assez pratique car les enquêtes concernant la provenances de ces expériences (ou autre motif

d'utilisation) ne sont pas faciles (mais pas impossibles) à mener.

Les techniques étant directionnelles et  traversant les murs, franchissant des km (les portables le font)

point n'est besoin de local spécial.

 

Selon une logique éthique ;

il vaut mieux que ces expériences soient menées sur les plus forts ;

pour qu'ils puissent se défendre ;

selon une logique pratique ;

il vaut mieux que ce soit sur les moins forts ;

pour qu'ils ne puissent pas se défendre.