Je cite :


* "Les procédures du crime pourraient aussi être expliquées, à partir des événement

complètement normaux de la vie quotidienne (“plausible deniability”), laissant ainsi

entendre que le harcèlement et les “étranges” agressions ne sont que le fruit de

l’imagination de la victime."***



Le but est de toujours rester dans la possibilité de le nier petites agressions ( "désolée, je

n'ai pas fait exprès..."...ou pas désolée du tout d'ailleurs, ça arrive aussi. )



* Morceler les actes de destruction entre plusieurs personnes :


Certaines personnes n'osent même plus mentionner ce qu'elles subissent car elle sont 

automatiquement  soupçonnée de développer maladie mentale au travers de "grilles de

détection  précoce", sans tenir  compte le moins du monde du fait que les réseaux

existent depuis la nuit des temps.


Je souligne l'importance du retour négatif perpétuel qu'il est possible d'infliger à une

personne victime d'un réseau.



La même insulte, si elle est proférée de la part de plusieurs personnes qui à première

vue ne se connaissent pas peut avoir un impact démultiplié.



En fait, c'est tout simple, les stalkers reçoivent une photo par MMS (par exemple) de la

personne à insulter ou à rabaisser avec le texte de ce qu'il faut lui dire...qu'elle est

grosse ou n'importe quel sujet quiaffecte la personne et hop :

ils obéissent comme des gentils petits élèves bien sages ! :)


Certains trouvent que c'est un jeu et un moyen facile de gagner de l'argent ou des

avantages discrets.

 



- À ce propos, la susceptibilité est souvent due au nombre de retour négatif que l'on peut

communiquer.



Une personne ayant à faire à un ou des réseaux, va pouvoir supporter une grande

quantité de retours négatifs, puis à un moment, il lui faudra se protéger pour ne pas

sombrer dans le découragement ou l'auto destruction surtout si elle sait qu'elle doit

poursuivre ses efforts et qu'elle est en position de responsabilité.


Si elle se retrouve dans une situation favorable en profondeur, elle pourra être réceptive

à la critique, tout en faisant, bien entendu, le tri de ce qui convient ou non à la direction

qu'elle a reçue.



Lorsque les gens basculent pour un mot de trop, c'est le plus souvent qu'il y en a eu

beaucoup d'autres avant.