* Autre exemple sans imagination, si une personne est poussée une ou deux fois par

semaine sur la chaussée (mais il s'agit en général de choses beaucoup plus variées, bien

entendu, mais évidemment très désagréables ou douloureuses et surtout potentiellement

dangereuses) par des personnes qui l'ont bousculée sans faire exprès.


Cela reste possible, mais si cela se produit plusieurs fois par semaine, un climat

d'insécurité s'installe, normal.

 

- Si le nombre de ces accidents potentiels ou effectifs liés à des maladresses

environnantes s'élève à un chiffre plus important, la personne est en droit de se poser

des questions.
 
- Si on lui dit que c'est à cause de ses problèmes intérieurs, elle est autorisée, à mon

avis, à ne pas en  être totalement convaincue sans pour autant faire preuve de

mauvaise foi.
 
- Si avant chaque événement de cet ordre un signal toujours le même, anodin, pourtant

sympathique est apporté, du style :

"Bonjour madame, comment allez vous ?"

toujours avec un les même notes et le même rythme, souvent un signe anodin mais 

toujours le même, un réflexe de Pavloff s'installe et au bout d'un moment la

personne panique lorsque qu'on lui dit la phrase accompagnée du signe.



(Le signal peut aussi être comme une  odeur, je rappelle que plus le signal est

difficilement perceptible plus il peut avoir d'impact pour la pathologisation.)



Le but étant souvent par la suite de faire une petite mise en scène en publique, en

utilisant les réflexes induits pour que la santé mentale de la personne soit mise en cause.



Un petit coup de micro-ondes bien ciblé (ou autre procédé technique) là dessus la

personne pleure "on ne sait pas pourquoi, elle doit être vraiment très sensible !!! "

Et la décrédibilisation est bien entamée.
 


(Autre ce sujet, un problème se pose au niveau des vidéos de personnes subissant ces

tourments, certaines présentent des faits tangibles, c'est parfait.

Mais pour d'autres les gestes ne sont pas vraiment des preuves pour l'extérieur, il faut

passer du temps à bien expliquer sinon, elles ne sont crédibles que pour ceux qui

ont compris ces techniques.


Elles peuvent enfoncer, si ce n'est pas assez bien expliqué car les gestes et les paroles

qui précèdent les divers problèmes, souffrances et dangers sont CHOISIS dans le but de

pouvoir être interprétés comme  anodins pour déclencher un réflexe de Pavloff

pathologisable.
 


Ce ne sont pas des contes de fée mais le fruit d'un conditionnement Pavlovien mis en

place par le biais d'une connexion  renforcée par de multiples expériences.


 
Il faut toujours se rappeler que ces réalités peuvent être apportées de manière

volontairement ridicule pour  les faire passer pour des fantaisies délirantes... mais les

pressions et l'épuisement que peuvent procurer ce style de programmes peuvent aussi

engendrer beaucoup de maladresse et des erreurs.

La personne qui en est l'auteure n'a pas forcément comme mission de disréditer.


Mais si personne n'explique, aucun frein n'existe, à chacun d'exercer son discernement et

d'accepter l'éventualité d'une erreur car il est facile d'en faire dans ces circonstances.


Pourquoi ?


Car des études entières ont été menées pour savoir comment créer de fausses

corrélations.


Ce n'est pas moi qui l'affirme mais un ingénieur ayant travaillé dans ces milieux (entre

autres personnes surdiplômées.)


À mon avis il faut exercer son discernement autrement qu'en disant :


"Cela n'est ni amusant ni plaisant DONC c'est faux."


Lorsque William Booth a eu le coeur brisé et a voulu agir contre des réalités ...

elles n'étaient ni pures, ni belles, ni agréables non plus.


Et il ne s'y complaisait pas sinon il n'aurait rien fait.