* Groupe d'individus bienveillants uniquement lorsque une avalanche de problèmes se
prépare ou alors lorsque les problèmes sont arrivés.
Là aussi un réflexe légitime de Pavloff s'installe.
De multiples exemples de harcèlement scolaire en parlent, les victimes en viennent à
être extrêmement réticentes lorsque le groupe est "bienveillant" car c'est pratiquement à
chaque fois qu'un "coup se prépare" les gens rigolent d'avance.
Ce n'est pas de la parano, mais de l'observation rationnelle liée à des faits
objectifs.
...Il ne faut pas cependant exclure la possibilité d'une repentance, ou alors d'une autre
source qui puisse procurer de la joie au groupe.
La position est donc très délicate car si à un moment la personne se trompe, l'erreur
est pratiquement systématiquement montée en épingle et la "preuve" qu'elle se trompe
sur tout ce qu'elle dit et qu'elle se fait des illusions y est automatiquement
trouvée.
À ce propos, beaucoup de victimes n'aiment pas faire souffrir, elles sont d'ailleurs
souvent choisies à des fins d'expériences non consensuelles, entre autre dans le but de
limiter le potentiel d'actions en justice justifiées.
Si vous êtes dans une situation semblable, et que vous faites une erreur de cet ordre, ne
passez trop de temps à "vous excuser de demander pardon", la culpabilité peut
anéantir le peu de force qui vous reste et vous mettre en grand danger.
Vous pouvez reconnaitre votre erreur dans la paix, (même si vous avez blessé par
inadvertance) faire votre possible pour en rétablir les conséquences sans vous mettre en
danger pour autant en vous disant que tout le monde en fait, et que les pressions
énormes auxquelles vous êtes soumis(e) ne font rien pour arranger les choses.
C'est pas pareil que de faire souffrir intentionnellement.
D'autres victimes sont choisies car elle sont faciles à pousser à la faute donc très faciles
à exclure.
Il faut trouver le juste équilibre et à mon avis n'utiliser que des moyens légaux en
ayant bien eu soin d'intégrer auparavant les enjeux et les rapports de pouvoir.