* Donner des conseils, ordres implicites ou explicites, des directions contradictoires ou impossibles à

mettre à exécution.


 Par exemple :


 *  Obligation d'aller à deux endroits en même temps.


  * Obligation de faire un choix de survie qui va affecter une des deux rares personnes qui sont

restées fidèles dans ce style de circonstances,


- ou alors affecter les deux.


 Certaines décisions sont prises pour des raisons difficiles à expliquer aux proches car les procédés

destructeurs (physiques et autres) eux mêmes sont compliqués et longs à expliquer.


Ils s'appuient tous sur la multiplication des sources néfastes :


 - Si la personne parle de toutes les raisons, c'est long et ennuyeux pour l'entourage,

- la pathologisation peut la guetter de manière prononcée :

"Où ??? tu vas chercher tout ça ?"

(Elle ne cherche rien, elle subit juste des techniques savamment répertoriées mais qui ne peuvent

démontrées que par un travail rigoureux... et impose donc une lecture ou écoute rigoureuse ; 

cela ne fait pas envie à beaucoup de monde / logique.)

- Et si elle ne dit rien, on lui dit qu'elle fait des mystères.

 


Là aussi, il faut différencier les conclusions suscitée par ces situations et la volonté délibérée de nuire,

ces conclusions peuvent être apportées de bonne foi par des gens qui n'ont pas examiné ces choses

de près, car si on ne s'est pas sérieusement documenté, on assimile plus ou moins

automatiquement les  apparences des situations avec des grilles d'interprétation

préfabriquées que tout le monde connait plus ou moins.

 * Donner des conseils et directions dont les effets peuvent nocifs, compte tenue du contexte , même

si dans l'absolu, ils sont bons.


En général c'est assez prisé car on peut en tirer la conclusion qu'elle est contre les bons conseils.


Pour contrer cette conclusion, il faut déjà la connaitre... car elle est souvent faite en dehors de la

présence  de la personne, et si elle est faite en sa présence, il faut prendre le temps et l'énergie

d'expliquer par a + b que ce conseil est bon, certes, mais pas dans ces circonstances.


Comme beaucoup de personnes préfèrent garder leur opinion, quelques soient les éléments

apportés c'est souvent parfaitement inutile.


Exemple :


"Détends toi, repose toi" au moment où la personne a 42 de fièvre (déclenchée de manière artificielle

ou non) alors que si elle ne poste pas son courrier avant 16h 30, le cachet de la poste faisant foi, elle

se retrouve à la rue ou autre conséquence socialement grave.


Evidemment elle n'avait pas reçu son courrier à temps (un grand classique) ou alors une avalanche

d'urgences l'avait avait empêchée d'y répondre avant :

fruits du harcèlement en réseau difficile à imaginer pour qui ne l'a pas vu ou connu de près.


J'ai tout à fait conscience que cela peut paraitre exagéré mais c'est la réalité de ceux qui sont dans ce

style de programme.
 
* Perte de temps au moments clefs :

Engager les gens dans des discussions ou des démarches secondaires juste au moment où ils doivent

faire quelque chose d'important.


* Donner au dernier moment un travail qui doit être préparé à une personne pour la mettre en

situation d'échec ou de médiocrité.


 * Lui donner un travail dans ses cordes, mais saboter les conditions :

- abîmer son matériel professionnel...

- microonder un membre dont elle a spécialement besoin pour occasionner une maladresse

- beaucoup d'études sont faites depuis longtemps pour fausser les perceptions et engendrer des

formes  de surdité particulières, par exemple  dont certaines basée sur l'effet Frey ( Barry Trower qui

a été physicien au MI5 pendant plusieurs années affirme que l'effet Frey fait partie des principes les 

facile à utiliser mais il est possible aussi d'agir sur les autres sens. ***)


 - le microondage du cerveau est assez radical, la personne peut perdre ses moyens éprouver une

très grande difficulté à réfléchir ou faire usage de sa mémoire,


- lui dire qu'on lui rend un service pour la soulager, mais changer d'avis sans l'informer...ou alors

lorsqu'elle a pris d'autres dispositions,


(Évidemment, ce style de problème peut aussi être du au hasard, donc il faut, autant que possible, en

tenir compte).


- si une personne s'occupe d'enfants par exemple :

        - elle peut être bombardée de micro ondes, les enfants aussi..., cela peut changer radicalement

l'ambiance, la souffrance n'est pas propice à beaucoup de choses,

(La compassion pour les enfants n'est ni encouragée ni enseignée dans ce style de méthode, ou alors

juste comme façade .)


- utiliser le contrôle neural sur les enfants ; ça peut aller très loin ***


- après avoir relevé la liste des points sensibles employer le langage forcé sur les enfants pour leur

faire dire des choses...(forme d'hypnose relever l'activité électrique du cerveau d'une personne et

l'imposer à une autre : clonage EEG l'hétérodynage est encore plus pervers car il mélange les

signaux) 


- la faire pleurer ou faire pleurer les enfants (plusieurs techniques peuvent convenir ***)
 
* Créer de faux problèmes en s'appuyant sur les points sensibles ou choses apparemment

irrationnelles pour éviter d'aborder les vrais problèmes et trouver des solutions par une

communication sincère sur un sujet important.


 
* "Théâtre de rue" ; définition, je cite :


"Une des particularités du Gang Stalking est la transmission d'informations privées, voire intimes,

aux pions.

Il s'agit des informations récoltées via les techniques de surveillance par les instigateurs qui vont les

donner aux pions qu'ils envoient interagir avec la cible. Les pions vont ressortir ces informations

privées, intimes (qu'ils ne peuvent en aucun cas connaitre spontanément) sous forme de

sous-entendus à la cible.


Qu'ils le fassent en seule présence de la cible ou en présence d‟autres personnes, seule la cible sait

que cette allusion insidieuse en est une."


Cela comprend aussi des petites mises en scènes sur des sujets sensibles.



* La "publication" de détails concernant l'intimité d'une personne, même s'ils ne sont pas

répréhensibles peut être, tout du moins dans un premier temps, traumatisante.


 À  ce sujet, je tiens à préciser que ce ne sont pas des illusions, certaines personnes ont reçu des

films entiers concernant leur intimité (non répréhensible, elles ne faisaient RIEN d'illégal mais comme

elles  n'étaient pas exhibitionnistes, cela les a affectées).


 Mais il faut se dire qu'il y a la même différence entre l'exhibitionnisme et le voyeurisme qu'entre

l'adultère (par exemple) et le viol :

pour l'exhibitionnisme la personne est active, alors que pour le voyeurisme, l'intimité d'une personne

est violée, donc elle subit.


Comme les victimes de viol, elles ont tendance à culpabiliser.


Il est possible s'aider d'un raisonnement très ferme pour se détacher de cette culpabilité déplacée.


Donc, il faut à mon avis :

- Reprendre beaucoup plus sévèrement ceux qui pratiquent ces techniques car elles sont trop

banalisées.


- Et si on ne peut rien faire activement... on peut considérer que cela laisse du temps pour

favoriser une prise de conscience, et de ce fait une repentance, mais tout ce que l'on peut faire pour

refuser le traumatisme et replacer les torts respectifs doit être fait :


- Si on ne fait rien d'amoral, il faut viser le détachement de l'impact du voyeurisme, si tel est le cas

pour vous, ce n'est pas vous qui êtes en tort.


- Certaines personnes ont reçu des réflexions dévalorisantes concernant leur intimité :

garder la paix, il y a quelque chose dans le voyeurisme qui est de l'ordre d'ouvrir le ventre d'une

personne… si quelqu'un trouve que ce n'est pas beau, il n'aurait pas du l'ouvrir, c'est aussi simple

 

- Savoir que si l'on a à faire à des sadiques, toutes les réactions de désarroi auront tendance les

satisfaire.



* Par contre Dieu récoltera nos larmes et Il écoutera nos cris.


(Il vaut mieux que ce soient des cris intérieurs, à mon avis...mais Il les entendra quand même et en

tiendra compte ! )