Je cite un conseil du Dr Hall anesthésiste qui accorde son secours à beaucoup de victimes

de ces techniques aux USA après le décès de quelqu'un de très proche *** :


Ce conseil est très bien mais d'autres personnes agissent autrement, et c'est très bien

aussi, le tout de respecter la démarche de chacun.
 


À chaque personne de voir ce qui lui convient le mieux en ayant écouté, si besoin, les

autres avis pour mesurer les risques afin de mieux les affronter.


 
Le problème étant qu'en France les associations concernant ces problèmes sont

pratiquement inexistantes et très vite infiltrées, alors qu'il en a dans d'autres pays

qui font un travail très sérieux.


Je cite :


"Ce que ne devrait sans doute pas faire une cible qui découvre son harcèlement, est

d’essayer de convaincre ceux qui pensent que ça n’existe pas.


Le risque étant de se retrouver dans un service de psychiatrie avec un diagnostic de

schizophrénie ou de délire.



Les associations de défense des droits de l’humain préconisent donc une communication

avec les associations spécialisées pour faire le point et obtenir des conseils.


Comme je l’ai indiqué le point principal de ce type de harcèlement est de vous entrainer

à appeler sans cesse la police pour des faits difficiles à prouver.


Cela risque de vous envoyer chez un psychiatre qui n’écoutera pas ce que vous avez

à dire ou ce que vous expliquez, il se contentera de faire un diagnostic de problème

mental.

 

Une fois que ce diagnostic de maladie mentale a été établi, la police ne répondra plus

à aucune des plaintes portées."

 

...Pratique..

 

Toutes les maladies sont simulables ou provocables par l'association de ces différentes

techniques mais les maladies psychiatriques sont plus marginalisantes et

décrédibilisantes donc obtiennent souvent la préférence des auteurs.

 

Pour résumer :


Les personnes concernées se retrouvent souvent devant un choix difficile (car rien n'est

prévu pour véritablement aider les victimes alors que ce sont des problèmes tout à

fait réels) :

 

- accepter de penser qu'elles ont un problème intérieur grave qui peut leur bloquer

beaucoup de portes dans le futur (même si généralement on leur affirme le contraire).


- ou alors risquer de subir une opposition plus farouche.


 
Accepter "la maladie détectée" peut-être compréhensible surtout dans un contexte très

difficile mais cela peut avoir comme conséquence un assassinat social et familial,

si personne ne prie et n'agit.
 
Mais des gens prient et agissent !

 


Certains médecins psychologues et psychiatres honnêtes ont déjà ouvert les yeux

et ont écrit des articles remarquables (Note 5) et je pense que tous ceux qui sont de

bonne volonté le feront aussi et en tiendront compte.



Je crois aussi que au travers des différentes actions qui ont lieu de partout dans le

monde, de tous les livres et témoignages qui ont été écrits et qui sont en train d'être

écrits, des limites très fermes seront fixées contre le terrorisme social.