"Il m’est cependant moins facile de saisir ce qui vous a motivé à entreprendre

un tel travail de longue haleine et ce que vous souhaitez en faire désormais."


Au niveau de la motivation, beaucoup de choses de l'ordre de la miséricorde, en priorité pour les

enfants.


J'ai lu beaucoup de témoignages sur les sectes qui se rejoignent :

un des principes que les gens qui y adhèrent aiment mettre en pratique c'est de séparer les enfants

des parents par divers biais, directs ou indirects pour leur faire subir toutes formes d'abus,

expérimentations, ou rituels par exemple.


Une des méthodes de bases que ces gens affectionnent particulièrement c'est de blesser de diverses

manières les enfants et de porter plainte contre les parents...

"D'une pierre deux coups..."


Je trouvais que c'était terrible, mais beaucoup de témoignages concordaient.

J'ai passé beaucoup de temps à savoir si c'était vrai, très malheureusement je me suis aperçue que

c'était le cas.


Puis j'ai été conduite à faire ces recherches et j'ai pu constater que les procédés étaient variés mais

que les DEW étaient "idéalement" adaptées pour arriver à des fins semblables, et j'ai compris

en fait, que ces sujets se rejoignaient.


Tous les symptômes de toutes les maladies psychiatriques y compris sont facilement simulables ou

déclenchables pour des gens qui maitrisent ces techniques.


Il est possible d'en simuler ou provoquer et faire faire des diagnostiques par des médecins

qui peuvent être de bonne volonté.


Lorsqu'un diagnostique est posé la personne se retrouve en fragilité sociale mais surtout par

rapport à ses fonctions parentales présentes ou futures.


Une révision du DSM (Diagnostic and satatistical manual of mental disorders) recueil de grilles

extrêmement discutables de l'avis même des spécialistes honnêtes, s'impose pour qu'il prenne en

compte ces techniques et que les victimes ne soient pas stigmatisées par des diagnostiques qui

peuvent déboucher sur du terrorisme social.


C'est un de mes principaux sujets de prière je ne suis pas la seule à prier dans ce sens.


Il est aussi très facile aussi de déclencher des symptômes chez des enfants et déclarer que les

parents les plus sérieux sont incompétents.


Les grilles d'interprétation diverses erronées, incomplètes ou "adaptées" lorsque les enjeux sont

importants, les"décryptages" sont proférés et le massacre des interprétations abusives est

ouvert.


Tout n'est pas forcément faux mais très loin d'être toujours juste.


Une personne qui s'occupe de ces atrocités au Canada disait que les parents accusés sont dans

l'impossibilité de voir ce dont on les accuse sans passer par un avocat (...sinon ils pourraient

se défendre en rassemblant des preuves...? Bonne question...) ***


Les malfaiteurs ont un avocat d'office (plus ou moins bon) mais les parents dans ce cas,

non...


*** * ***


Pourquoi les médicaments peuvent ils parfois un peu soulager et pourquoi ne suis-je pas

systématiquement contre ?


Déjà, c'est à chacun de voir.

(On peut mettre en pratique certains principes sur le plan personnel sans en parler comme étant

directement issus de la Parole.)


Mais aussi car ces techniques agissent de manière pernicieuse avec plus ou moins de violence, mais

parfois de manière extrême, sur les centres de la douleur et / ou des émotions.


Ce n'est pas parce que ces douleurs et émotions sont déclenchées par ces techniques qui

jouent sur l'activité électrique du cerveau qu'elles sont factices.

 


Pour le centre des émotions, le fait de connaitre ces techniques  peut permettre d'éviter de

concentrer son énergie sur de faux problèmes et peut en régler un énorme pourcentage, mais il arrive

que l'intensité des attaques soient tellement forte qu'il soit très difficile de résister.


La morphine peut être utilisée dans un contexte médical pour lutter contre la douleur,

mon avis sur cette utilisation n'est pas vraiment défini.


Au niveau du sommeil aussi, si la personne subit par différents moyens que j'ai déjà décrits des

perturbations sévères, il faut en tenir compte du mieux que l'on peut par différents moyens.

 

(Mais très souvent lorsqu'il s'agit de ce style de problème les somnifères ont un impact assez

faible, et n'arrivent pas souvent à contrecarrer l'intensité des agessions.)

 

Certains moyens sont limités aussi par le contexte social.

 

Exemple :


- les protections physiques peuvent facilement être interprétées comme le signe d'une paranoïa

si le contexte social ou familial est volontairement ou non réticent à voir les choses en face.

 


Il faut veiller à ne pas rajouter de difficultés en recherchant le bien en premier... mais aussi souvent

le moindre mal surtout si les positions spirituelles sont délicates.


Le renforcement de la torture électronique peut avoir lieu si la personne ne prend pas de

médicaments.

 

Ce n'est pas difficle de savoir ce q'une personne fait de nos jours, plusieurs moyens peuvent convenir,

lorsque les enjeux sont important,  ou "très importants"

 

 


Au risque de me répéter, je ne rentre pas dans une accusation directe, j'énonce juste des principes

que chacun est en droit de connaitre et dans le devoir moral de vérifier, ce qui arrive à certaines

personnes peut arriver à n'importe qui du jour au lendemain car si certaines cibles sont choisies

par rapport à leur désir de justice, d'autres le sont de manière aléatoire dans des buts

d'expérimentation.

 


Les médicaments ont aussi beaucoup d'effets secondaires à la base, d'autres problèmes

aussi peuvent prendre place. ***


Le risque de dépendance est aussi à prendre en compte autant que possible.